La marche est l'une des activités les plus pratiquées. Elle est utilisée pour se déplacer d'un endroit à l'autre. Comme toute activité motrice, la marche suit certains schémas de mouvement normaux. Comment marche-t-on ? À quoi devez-vous faire attention et que devez-vous améliorer ?
Marche : activité fonctionnelle
Il n'est pas exagéré que vous devriez vous soucier autant de marcher que de vous pencher, vous accroupir, plier et redresser vos bras. La marche est une activité fonctionnelle et en moyenne, une personne fait 3 000 à 4 000 pas par jour. Si vous visitez ici, vous découvrirez les meilleures façons de combler l’espace entre la marche et la contremarche. Vous pouvez en faire plus, et leur nombre dépend de nombreux facteurs. L'un d'eux est l'activité motrice consciente.
On marche avec tout le corps
La marche n'affecte qu'en apparence la partie du corps à partir de la taille. À chaque pas, la jambe et la hanche avancent avec l'épaule et la main opposées. En même temps, l'autre jambe et la hanche, et l'autre épaule et la main équilibrent les mouvements, car elles font le mouvement opposé. Le corps se déplace en diagonale, comme s'il tournait autour de son axe. Ce mouvement doit être correctement équilibré, c'est-à-dire que la liberté de ce mouvement doit être égale des deux côtés du corps.
Restreindre la liberté de mouvement dans n'importe quelle partie du corps entraînera l'apparition de mouvements compensatoires du côté opposé. Lors de la marche, le bassin oscille d'avant en arrière, d'un côté à l'autre, et il y a un mouvement de rotation dû au libre mouvement entre le sacrum et l'os de la hanche.
En effectuant des schémas de mouvement erronés, la hanche peut tourner par rapport au sacrum ou au fémur. Le sacrum peut tourner par rapport à la colonne lombaire, au coccyx ou à l'os iliaque, et il peut y avoir des rotations entre les vertèbres lombaires individuelles.
Chaque étape s'accompagne d'un allongement séquentiel des articulations. Les espaces entre le pied et l'articulation de la cheville augmentent, l'articulation du genou et l'articulation de la hanche s'allongent. Grâce à cette dernière, le bassin effectue le mouvement de balancement latéral caractéristique de la marche.